Comme tout service professionnel, nos prestations sont soumises à des honoraires dont vous devrez vous acquitter.
Il faut cependant savoir que si vos revenus sont inférieurs à un certain plafond et que la mission concerne la juridiction française, vous aurez la possibilité de bénéficier de l'aide juridictionnelle. Cette aide, sous certaines conditions, vous permet de bénéficier d'une prise en charge partielle, voire totale, par l'État de vos frais de justice (expert, huissier...) incluant nos honoraires. Pour plus d'informations, n'hésitez pas à consulter les informations détaillées en cliquant sur le lien ci-dessous.
D'autre part, certaines compagnies d'assurance proposent une garantie protection juridique comprise dans leurs contrats. Cette garantie permet à votre assureur de prendre en charge une partie ou la totalité de nos honoraires.
Attention : le fait de bénéficier de cette protection juridique ne vous oblige en rien à avoir recours à l'avocat que votre assureur pourrait éventuellement vous désigner ; vous être libre de choisir votre avocat librement.
Enfin, les dispositions légales applicables en matière civile (art 700 du Code civil), en matière pénale (article 475-1 et 375 du Code de procédure pénale) et matière administrative (L.761-1 du Code de justice administrative) prévoient que les juridictions peuvent condamner la partie perdante à assumer les frais d’avocat engagés par l’autre partie, vous donnant la possibilité de n'avoir à débourser aucun frais.
Loin d'être taboue ou un sujet obscur, la fixation de nos honoraires est établie très clairement lors du tout premier rendez-vous, et ce, selon trois méthodes possibles.
- Honoraires au forfait : dans le cas de procédures "habituelles" ou peu d'aléas sont à prévoir, comme lors d'un divorce par consentement mutuel, l'établissement d'un PACS ou la rédaction d'un contrat, nous pouvons convenir d'une rémunération globale pour ces prestations.
- Honoraires de résultat : contrairement à d'autres pays, et notamment les États-Unis, le "pacte de quota litis", c'est-à-dire une convention stipulant que l'avocat ne recevrait d'honoraires qu'en cas de procès gagné ou d'un résultat déterminé, est tout simplement illégal en France. Cependant, il est possible de convenir d'honoraires de résultat, c'est-à-dire des honoraires "minimum", adjoints d'honoraires "variables" selon le résultat obtenu à l'issue de la procédure.
Ce type de facturation peut notamment s'appliquer dans les procédures de demandes d'indemnisation, où un pourcentage de l'indemnisation serait facturé sous forme d'honoraires "complémentaires". - Honoraires au temps passé : méthode très courante de facturation, ce type d'honoraires consiste tout simplement à calculer le nombre d'heures consacrées à votre affaire, multiplié par un taux horaire qui aura été déterminé lors de notre première entrevue. Bien évidemment, nous vous informerons au préalable de l'estimation des heures nécessaires au traitement de votre dossier avant de commencer le travail.
Concernant les missions confiées au Rwanda
Selon l'article 137 du règlement d’ordre intérieur de l’Ordre des avocats du Rwanda, les honoraires sont négociés librement dans les limites du barème fixé par le Conseil de l'ordre. Nous appliquons donc ce règlement et fixerons donc ensemble nos honoraires lors de notre première entrevue.